Crash de l'A320 : nouvelles révélations sur l'état de santé très fragile d'Andreas Lubitz
Après que la presse allemande a
révélé que le jeune homme avait traversé une phase de dépression et
faisait l'objet d'un suivi psychiatrique, le parquet a découvert qu'il
était en arrêt maladie le jour du drame.
Au fur et à mesure que l'enquête progresse,
on en apprend davantage sur l'état de santé d'Andreas Lubitz, soupçonné
d'avoir volontairement fait crasher l'A320 de la Germanwings mardi
matin. Vendredi, on a ainsi découvert qu'il avait traversé une phase de
dépression et qu'il avait caché à son employeur qu'il était en arrêt
maladie le jour du drame. Les enquêteurs cherchent actuellement
d'éventuels indices d'une maladie psychiatrique pour expliquer son
geste.
Au cours de leurs perquisitions aux deux domiciles de Lubitz, les enquêteurs ont découvert qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour du drame. Selon le parquet de Düsseldorf, en charge d'un pan de l'enquête, il a été retrouvé plusieurs arrêts maladie «détaillés» et «déchirés», qui concernaient notamment le jour des faits.
Selon des informations dévoilées par M6, l'arrêt de travail «pour dépression» irait du 16 au 29 mars. Des antidépresseurs auraient même été retrouvés dans un de ses domiciles, ajoute la chaîne télévisée qui ne cite pas ses sources. Et d'après le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui ne cite pas non plus de source, les arrêts seraient «apparemment» signés d'un «neurologue et psychiatre». Joint par Le Figaro, le parquet de Marseille n'a pas souhaité commenter ces informations mais l'hypothèse d'une maladie psychiatrique commence à prendre forme.
En Allemagne, le parquet de Düsseldorf n'a pas dévoilé la nature de la maladie du jeune homme de 28 ans. Quoi qu'il en soit, ces documents (les arrêts maladies. nldr) viennent «appuyer la thèse» selon laquelle Andreas Lubitz «a caché sa maladie à son employeur (la compagnie aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel», affirme le parquet. Autre information capitale: ces pièces à conviction attestent d'une «maladie existante et de traitements médicaux correspondants», selon la même source.
Au cours de leurs perquisitions aux deux domiciles de Lubitz, les enquêteurs ont découvert qu'il faisait l'objet d'un arrêt maladie le jour du drame. Selon le parquet de Düsseldorf, en charge d'un pan de l'enquête, il a été retrouvé plusieurs arrêts maladie «détaillés» et «déchirés», qui concernaient notamment le jour des faits.
Selon des informations dévoilées par M6, l'arrêt de travail «pour dépression» irait du 16 au 29 mars. Des antidépresseurs auraient même été retrouvés dans un de ses domiciles, ajoute la chaîne télévisée qui ne cite pas ses sources. Et d'après le quotidien Süddeutsche Zeitung, qui ne cite pas non plus de source, les arrêts seraient «apparemment» signés d'un «neurologue et psychiatre». Joint par Le Figaro, le parquet de Marseille n'a pas souhaité commenter ces informations mais l'hypothèse d'une maladie psychiatrique commence à prendre forme.
En Allemagne, le parquet de Düsseldorf n'a pas dévoilé la nature de la maladie du jeune homme de 28 ans. Quoi qu'il en soit, ces documents (les arrêts maladies. nldr) viennent «appuyer la thèse» selon laquelle Andreas Lubitz «a caché sa maladie à son employeur (la compagnie aérienne Germanwings) et à son environnement professionnel», affirme le parquet. Autre information capitale: ces pièces à conviction attestent d'une «maladie existante et de traitements médicaux correspondants», selon la même source.
Source Figaro


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